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Peut-on jouer avec l'Histoire et avec nos souvenirs les plus intimes, famille, amours, engagements politiques ? Comment se nomme ce qui remonte à la surface, cette écume composite, ces taches de lumière sur fond sombre où ce que nous croyons voir se déplace sans cesse ?
Mishmash: c'est le nom que les enfants des rues de Bruxelles donnaient au mélange d'eau et de terre avec lequel ils jouaient, il n'y a pas si longtemps. C'est, en yiddish, la confusion. La réponse est là. Au départ d'un magma faire surgir une forme. Activité
ludique et grave où l'homme qui revoit sa vie - depuis sa naissance le 13 mars 1938, jour de l'entrée d'Hitler à Vienne, jusqu'à
aujourd'hui, devant sa fenêtre ouverte sur les astres - retrouve l'enfant qu'il était, absorbé et rêveur.
Mishmash est le fruit d'une alchimie, d'un mélange entre la réalité et l'affabulation qu'est tout travail de mémoire. Un récit qui ne
se donne pas d'emblée mais se découvre au fur et à mesure, avec un étonnement qui se mue très vite en curiosité puis en fascination
pour cette succession d'images si limpides et si ambiguës à la fois. À une époque - la nôtre - menacée par la simplification,
voici un voyage troué d'ellipses, un ciel noir piqueté d'étoiles. Le regard embrasse à la fois Auschwitz et le jardin maternel, un groupe
de résistants et la baignoire où flottent des canards de plastique, le gibet et la partie de tennis. De la confusion naît l'ordre, un
ordre que Christian Carez a l'élégance - ou l'humour, ou l'audace - de faire paraître aléatoire, au fil de non-dits, d'allers-retours,
d'échappées, telle la pensée lorsqu'elle brasse songeusement cette galaxie qu'est une vie d'homme.
Trente-six photographies pour nous projeter dans un siècle, une existence. L'étonnant est que ce siècle si riche en événements
dramatiques, cette existence si secrète et engagée à la fois, trouvent à se dire avec une telle économie et tant d'éclat. Un éclat qui
ne nous aveugle pas, un clin d'oeil, plutôt, vigoureux et fraternel, une in