«Peut-on écrire aujourd'hui encore sur le gaullisme social ? Manifestement, non. Le discours ambiant est celui du tout libéralisme, de la soumission à la fameuse main invisible du marché. L'homme politique est condamné à ne plus parler de politique sociale. Désormais, il lui faut choisir entre le libéralisme libertaire habillé aux couleurs de la modernité et la régression étatique. Oser poser la question du social, c'est déjà se condamner. Comme tous les totalitarismes, l'économie n'aime pas ceux qui lui disent non.
Or, nous, les gaullistes, nous sommes là pour dire non chaque fois que la dignité humaine est en danger, chaque fois que la nation et le rêve républicain qui l'accompagne sont menacés.»
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