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Le 1er juillet 1940, Vichy devint, sans son assentiment, capitale provisoire d’une France vaincue et occupée, aux deux tiers, par les Allemands : un destin inattendu. Pendant quatre années, elle restera cette capitale provisoire. Cette situation eut, sur la vie et l’avenir de la cité, de profondes conséquences nées, aussi du trouble profond qui en résultait. Du jour au lendemain, cette station en vogue, de réputation internationale, devint une cité envahie par des blessés, des réfugiés, des fonctionnaires (40 000), des hommes politiques, un chef d’État, un gouvernement, étouffant les vrais Vichyssois. Comme il n’y avait pas assez de place, ce flot d’intrus se répandit à Cusset, à Bellerive et le dimanche, dans toute la campagne bourbonnaise voisine. Comment ceux qui n’appartenaient pas à la Nomenklatura, ni au Corps Diplomatique, sont-ils parvenus à vivre, à subsister, à rester eux-mêmes, malgré la pénurie et de multiples inconvénients : c’est ce que Jean Debordes s’efforce de rappeler, dans son livre, par un récit méticuleux, avec de nombreuses anecdotes. Durant plus de deux ans, il a compulsé, à travers la France, livres, documents, journaux de l’époque (ces derniers ayant été, bien souvent, détruits à la Libération). Il a aussi rencontré de nombreux Vichyssois qui, aujourd’hui, malgré leur âge, se sont souvenus de cette époque. Avec beaucoup de bonne volonté, ils ont accepté d’évoquer leurs années de jeunesse. Qu’ils en soient remerciés. À travers ces 280 pages, dont 16 consacrées aux photographies (soit 33 au total), le lecteur se rappellera ou découvrira un Vichy qu’il est aujourd’hui bien difficile d’imaginer. Pourtant, c’est l’histoire de notre ville et cette époque a bien existé.