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Le 19 avril 1945, alors qu’il vient d’être rapatrié du camp d’extermination de Nordhausen, Henri Megglé donne témoignage de ce qu’ont été dix-huit mois de déportation dans les camps de Buchenwald, Dora/Mittelbau, et Nordhausen. [...] « Cette note composée de 23 feuillets est le récit pris en sténotypie de Henri MEGGLÉ âgé de 27 ans, arrêté par la Gestapo à Vichy en juillet 1943, expédié en décembre à Compiègne, puis après une quinzaine de jours, à Buchenwald. Au moment de son arrestation Henri MEGGLÉ faisait partie de l’organisation M.U.R. (Mouvements Unis de la Résistance) où il travaillait sous la direction de Jean PRONTEAU « Groupe Cévennes ». Son récit a été recueilli le lendemain de son arrivée au Bourget par avion, alors qu’il est couché et dans l’incapacité absolue de circuler. Son poids actuel est de 38 kg, son poids normal est de 79 kg. Nous croyons savoir qu’Henri Megglé est le premier résistant effectif à être arrivé au Bourget, de la région de Weimar. » (Note transmise par Stéphane Simon avec le texte dit : de Saint-Tropez) « LES CAMPS DE LA MORT NATURELLE. Ce titre est reporté sur deux pages du journal Action en 1945 et introduit un article signé par Pierre Courtade. Mon cœur frappait sourdement, violemment dans ma poitrine… J’ai voulu le publier. […] Pour étayer mes propos je me suis appuyée sur d’autres documents dont l’un écrit par ma grand-mère paternelle, et dans lequel elle raconte la libération de Lyon où elle réside avec trois de ses enfants ; deux de ses fils sont déportés… Ce livre est un grain de sable dans l’immensité de notre mémoire collective ; j’ai voulu y contribuer avec toute l’authenticité de ce récit, respectant au plus près la personnalité de mon père, Henri Megglé. »
À PROPOS DE L'AUTEURE
Actrice, conteuse, auteure de textes dramatiques, de récits, de contes, Caroline fut aussi animatrice en MJC, directrice d’un centre culturel, d’un cinéma d’Art et d’Essai, employée de bibliothèque, professeur de théâtre.