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Ce jour-là, l’abbé Robert Prévost était là. Il était là, témoin, et il rapporte ce qu’il a vu, entendu, vécu. Ce jour-là, pour les catholiques — et aussi pour l’adversaire de l’Église et du Plan divin, l’ennemi n° I de Dieu et du genre humain — fut une journée capitale. C’est le jour où l’Église de Pierre — menacée au nom d’un libéralisme naturaliste dont les origines et les fins ne sont que trop claires — résista aux tentations de dislocation et opta pour la fidélité, l’obéissance, et l’unité. C’est le jour, 21 novembre 1964, où à Saint-Pierre de Rome, resplendit l’heure la plus lumineuse — splendidissima hora, comme l’a nommée Paul VI — qui scella pour longtemps, peut-être définitivement, le destin terrestre de l’Église et celui de ce « monde moderne ». L’abbé Robert Prévost a vu, ce jour-là, le point majeur du Concile Vatican II et la marque incontestable d’une action propre, imprévisible autant qu’irrésistible, de l’Esprit même de Dieu — l’Esprit-Saint — qui anime et garde infailliblement son Église — l’Église unique du Christ — et qui, au-dessus de toutes les recherches, audaces ou résistances des esprits humains, la fait sans cesse avancer vers une plus éclatante manifestation de sa vitalité intérieure et une plus bienfaisante diffusion de son service auprès des hommes. Encouragé de divers côtés, il a entrepris d’écrire l’histoire de cette finale de la 3e session de Vatican II, et d’exposer ce qui peut maintenant en résulter pour la pacification des esprits, pour une collaboration de tous aux vastes fruits de ce Concile divinement inspiré à l’humble et tout simple « Pape Jean », si les uns et les autres acceptent de dépasser des positions encore trop liées — le plus souvent inconsciemment — à des options temporelles, donc relatives et transitoires, pour se rencontrer sur le seul terrain de l’Église : celui de sa Mission essentielle, qui est le salut éternel des hommes et leur sanctification. On ne trouvera dans ce livre ni amertume, ni polémique. Il a été écrit dans la sérénité et dans la joie, sans autre passion que celle de la vérité, et de la charité dans la vérité.