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« Le regard des vaches, tout le monde dit qu’il est bête. Il n’est pas seulement bête. Il est méchant. Un regard de tueur comme on en décrit dans les Série noire. Une vache noire sortirait un flingue et vous arroserait de pruneaux sans même cesser de mâcher son chewing-gum. Sans états d’âme et sans remords. Un contrat comme tant d’autres, pour le fric, voilà comment elles sont, les vaches noires.Saloperies ! »Composé par l’auteur lui-même en 1996, Vaches noires est le dernier livre de Roland Topor. Ce recueil de trente-trois nouvelles inédites concentre les thèmes qui lui sont chers : l’aliénation par les choses et l’argent, la déchéance physique, jusqu’au démembrement et au morcellement, la hantise du temps qui file et de la mort qui rôde. Le tout baigné dans cet humour noir grinçant, ce sens inné du grotesque, cette fantaisie tantôt blagueuse, tantôt inquiétante, qui furent la marque de l’auteur. Quinze ans après sa mort, Topor rit encore !