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Syrie byzantine, 5e siècle après Jésus-Christ. Alors que Rome n’en finit plus de sombrer dans le chaos, l’axe du monde a basculé vers le Levant. Les chrétiens y sont désormais majoritaires et s’emploient à étouffer les derniers foyers du paganisme. Deux hommes, un moine et un réfugié romain fortuné, suivent chacun leur destin : dans la ville festive d’Antioche dont l’éclat lui vaut le surnom de « Perle de l’Orient », Rufin, demeuré fidèle aux anciennes croyances, s’abreuve aux plaisirs de la vie ; au contraire, Paphnuce s’en est précocement détourné au profit d’une existence pieuse derrière les murs d’un monastère, avant de prendre la décision radicale de vivre solitaire au sommet d’une colonne, non loin du désert. Mais les temps sont incertains, même pour un stylite, et jamais le jugement dernier n’a semblé aussi proche… Une colonne pour le paradis se penche sur ce 5e siècle en proie aux désordres de la nature et des passions humaines, oscillant entre ferveur et cruauté, plaisirs charnels et mortifications, transcendance et fanatisme religieux, mais qui trouve quelquefois un salut provisoire dans l’amour. Car la mort n’a-t-elle pas toujours le dernier mot, ainsi que l’illustre cette épitaphe en vogue sur les tombes, tant chrétiennes que païennes ? Tu cours ? – Je cours. / Jusqu’où ? – Jusqu’ici ! — Philippe Fiévet est né à Charleroi, en Belgique. Il habite à Braives, entre Liège et Namur. Parallèlement à des voyages en Grèce, en Syrie et en Égypte, il a enseigné l’histoire, se passionnant pour l’antiquité tardive et protobyzantine, avant de bifurquer vers une carrière de journaliste et d’éditorialiste à la rédaction belge de Paris Match. C’est à la suite d’un séjour prolongé au mont Athos qu’il s’est intéressé de près à la vie érémitique dont les aspirations et les épreuves hantent ce roman riche en péripéties.