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Oublier et dire merci. — Quoi, merci ? Quel merci ? — Pour vos crimes, monsieur, merci. Pour votre justice et vos façons de vous taire… pour vos crapuleries, vos bassesses, vos lâchetés… merci, Monsieur… — Thank you, Sir… En anglais, langue diplomatique, dit-on, on peut s’adresser à l’entière humanité. L’humanité ici (très) bas qui se bouche les oreilles et ferme les yeux sur les crimes passés et présents, cautionnant ainsi, sans vergogne, les crimes à venir. Le héros de la pièce, François d’Oune, se présente à l’opinion publique. Il se tait, il n’accuse pas, il n’exige rien. Il est là, devant nous, et il attend. En réalité, il se pose la question à lui-même : que faire devant cette terrible injustice dont je suis la victime ? Oublier et dire merci ? comme on le lui suggère, le lui conseille ? Au lecteur, au spectateur de donner la réponse, en conscience. Mais cette conscience n’est-elle pas morte avec les morts, avec les ans ? enterrée, elle aussi, pour permettre à chacun de vivre en paix ? « Thank you, Sir » est suivi de : « Les Baigneuses de Californie », « Le Quatrième Mur » et « La Vague ».