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Où l’on voit que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue. Tout le monde le pense, mais personne ne le dit, ou bien on veut nous faire croire le contraire. Tous les personnages de ce livre sont idiots. Ils ne disent que des bêtises. Donc : style réaliste. John se promène à bicyclette. Noma ne l’aime pas. Des soldats font la guerre (la solution Mao), un prêtre et des scouts passent le temps à faire semblant de servir à quelque chose. Tout se réduit à 1 et 0 : la machine électronique. Mais 1 et 0 ne sont que la traduction approximative d’un seul mot où tous les mots se réduisent à un seul, que personne ne connaît. Chaque personnage cherche ce mot à sa façon ; illusion, recherche vaine, refuge dans la plaisanterie, jeux de toutes sortes, promenades, paysages ; d’où les descriptions d’un monde paradisiaque luxuriant, d’un pays abandonné depuis cinquante ans où pousse une végétation monstrueuse sous un climat très variable. Naissance et mort se rejoignent dans le sommet seul repos de l’homme pensant : fatigué. Puisque toute proposition se réduit à : a est a, bien que jamais a n’ait exactement le sens de a, d’où une certaine folie...