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Roman d’aventures, roman policier, roman initiatique, roman satirique… La vie de Bernard Tapie est tout cela à la fois. Une vie qu’il a lui-même pensée avec soin, et qui rejoint, souvent à son insu, la cohérence et l’exemplarité d’un univers romanesque. De ses traits de caractère jusqu’aux lieux qu’il investit, tout le personnage médiatique de Tapie est construit en référence, implicite ou non, à des modèles littéraires et cinématographiques. Voilà la thèse originale que défend Françoise Moreau dans un brillant essai. Drôle aussi : mettant à profit sa connaissance du genre romanesque et son talent parodique, elle convoque personnages et auteurs à l’appui de sa démonstration, avec une série de pastiches qui mettent en scène Bernard Tapie. Au paupérisme de l’enfance elle associe Zola, à l’appât du gain Balzac, aux démêlés avec la justice Camus, à la faconde San Antonio… Il cause comme il sait causer – un finaud, le boss, dans son genre, vous trouvez pas ? – et le mec devant lui se voit déjà enveloppé de coton dans le firmament.