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En 2011, lorsque surgit une question relative à la pollution des nappes phréatiques dans le nord de la France par une substance chimique le perchlorate retrouvée dans l'eau du robinet au niveau des anciens champs de bataille de 14-18, le doute s'installe : y aurait-il un lien avec la Grande Guerre ? Là-bas, près de Verdun, en pleine forêt, rien ne pousse. Exception visible, ou n'a-t-elle fait qu'échapper au crible de l'oubli ? Que se cache-t-il sous terre, entre preuves et soupçons ?
À la fin de la Première Guerre mondiale, on estime au total, plus d'1,5 million d'obus chimiques et 300 000 obus explosifs ont ainsi été enterrés dans la Meuse de Verdun. L'usage, la destruction et le recyclage de cet arsenal cyclopéen constituent aujourd'hui un héritage toxique centenaire. La Meuse n'est ni un cas ni un département isolé : ailleurs, d'autres lieux ont assimilé le traumatisme tellurique de la Grande Guerre.
L'enquête historique et environnementale de Daniel Hubé, géologue de métier mais surtout par passion, ne figure dans aucun livre. Sa mission ? Faire émerger du passé des questions enfouies. Ses pérégrinations l'ont conduit vers des spécialistes des munitions, puis à se plonger dans les archives, en France et à l'étranger, avant de s'armer de drones pour restituer l'un des derniers secrets de la Grande Guerre et, ainsi, « évaluer la matière à panser ». Un document unique qui pose, aujourd'hui plus que jamais, la question des pollutions de guerre et des désastres écolo