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Ce soir-là, Guy de Malivert, un jeune homme de vingt-huit ans, doit aller prendre le thé chez Mme d’Ymbercourt, une veuve qu'il va bientôt épouser. Mais après un bon dîner, il se sent si bien dans la chaleur de son salon qu'il renonce à se rendre chez elle. Pour s'excuser, il décide de lui écrire. Il place devant lui une feuille, trempe sa plume dans un encrier, et commence à rédiger la lettre. À sa grande surprise, sa main, prise de fourmillement, écrit toute seule, comme possédée... Des soupirs glacés, des apparitions — Malivert est en proie au surnaturel.
Lorsque «Spirite» est publié en 1865, le spiritisme est à la mode. Théophile Gautier fait communiquer les morts et les vivants en un roman où l'amour semble impossible.
Théophile Gautier (1811-1872) est destiné à une carrière de peintre, mais une rencontre décisive avec Victor Hugo lui donne un fort goût pour la littérature. Victor Hugo lui prêtera sa tendance au romantique, qu’il défendra par ailleurs dans la fameuse bataille d’Hernani, le 25 février 1830, contre le classicisme. En 1831, il participe au petit cénacle, cercle littéraire qui lui fait rencontrer Nerval. Il publie cette année là son premier conte fantastique «La Cafetière», genre qu’il utilisera aussi dans «Avatar» en 1856, et «Le Roman de la momie» en 1858. En 1852, il publie «Émaux et Camées», un recueil de vers qu’il continue de travailler jusqu’en 1872. Il lui vaudra l’admiration de Baudelaire qui lui dédie «Les Fleurs du Mal».