Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Confier au privé, c'est-à-dire à des "mercenaires", la défense nationale et la sécurité publique, est-ce, pour l’État, abdiquer et renoncer à la souveraineté ? Ou bien est-ce donner aux forces de l'ordre et aux forces armées les moyens optimaux de mener à bien les missions que leur a confiées le pouvoir politique ? Et comment contrôler un processus si complexe et risqué ?
Tandis que les débats sur la privatisation de la guerre et de la sécurité se limitent, au moins en France, à l'alternative stérile du "pour ou contre", Philippe Chapleau propose ici une réflexion vaste et féconde pour poser le problème de façon concrète et documentée, au-delà de toute caricature vaine et de parti pris idéologique.
Après avoir travaillé pendant dix ans comme correspondant en Afrique du Sud, Philippe Chapleau a rejoint le service Politique du quotidien Ouest-France où il suit les questions de défense et de politique étrangère. Il y anime le blog Lignes de Défense. Depuis une quinzaine d’années, ses recherches portent sur l’externalisation en matière de défense et sur les sociétés militaires privées. Il intervient à l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ) où il est coordinateur d’enseignement, à l’IHEDN et à l’École des Transmissions où il enseigne les techniques de communication appliquées aux armées.