Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
C’est dans une maison de la tour de l’Eglise à Sézanne que Roger Boyer, fils d’un sabotier et d’une marchande de légumes, vit le jour le 9 mars 1888. Il fit des études primaires et secondaires pour se consacrer à l’enseignement. Il débuta comme instituteur à l’école de garçons. Puis, après son service militaire effectué à Toul, il exerça au collège de Sézanne jusqu’en 1946, année qui marqua la fin d’une brillante carrière qui lui valut Les Palmes Académiques. En 1914, trois ans après son mariage, il fut mobilisé et affecté au 156e R.I. Il combattit successivement en Belgique, en Artois, en Lorraine et en Champagne lors des grandes batailles de 1915. Deux fois, blessé, M. Boyer fut nommé officier avant de partir pour l’armée d’Orient à Salonique. Sa conduite lui valut la croix de guerre et la rosette de chevalier de la Légion d’honneur. A son retour, il continua à se consacrer à l’enseignement. Parallèlement à ses activités professionnelles, il s’adonnait à de multiples occupations, notamment au sport et à la musique qu’il pratiquait dans les sociétés locales. Secrétaire du SAS, puis président de la Musique Municipale, son inlassable dévouement était apprécié de toute la population. Passionné de la vie locale, M. Boyer accepta des fonctions de correspondant de presse, d’abord à l’Eclaireur de l’Est depuis 1920, puis à l’Union jusqu’en 1970. Il consacra de nombreuses années au service de l’information avec un admirable souci de vérité et d’objectivité. Les multiples documents qu’il conservait, les anecdotes qu’il a vécues et notées ainsi que son étonnante érudition faisaient de lui, au-delà du chroniqueur apprécié, l’historien incontesté de notre ville.