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Adoré puis détesté, encensé puis vilipendé par la presse en un temps record : on a rarement vu chez les journalistes un retournement aussi rapide de sentiments et d’opinions à l’égard d’un personnage politique. Nicolas Sarkozy, qui avait su séduire la presse et tisser avec elle des liens de proximité inédits dans l’histoire de la République, et justement peut-être à cause de cela, est devenu l’homme politique le plus mal traité une fois arrivé à L’Elysée. La connivence qui avait fait merveille avant son élection devait le transformer en cible privilégiée d’une classe médiatique soucieuse de distance avec les puissants et soudain désappointée par cette complicité passée. Le regard ironique d’Hélène Pilichowski nous présente de façon souvent très drôle – à travers une étude sérieuse des publications de l’époque – le Président étrillé par ses confrères : l’usurpateur, l’hyper-président, le bling-bling, le raciste, le flic, le fou, l’inconstant… Et elle décrit les effets dévastateurs de cet acharnement. S’il l’emporte à nouveau, ce sera malgré ce combat avec des journalistes… qu’il croyait tenir.