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Un coach étranger à la tête des Diables Rouges? Impossible! Voilà ce qu’on a entendu pendant des décennies. Une page s’est tournée avec le passage éphémère du Néerlandais Dick Advocaat en 2009, mais la vraie révolution a eu lieu en 2016, quand Roberto Martinez a débarqué pour prendre les rênes de la sélection belge. Animé par l’amour du beau jeu inspiré de ses racines catalanes, forgé dans la dureté de la Premier League, le tacticien espagnol a emmené les Diables dans une nouvelle ère, en appliquant une vision du jeu bien à lui. Innovante, romantique, mais parfois aussi quelque peu têtue et idéaliste.
Avec lui, Eden Hazard et ses équipiers sont devenus plus offensifs, plus efficaces, plus séduisants. Parfois au détriment de l’assise défensive et de l’équilibre. Depuis son arrivée, Martinez a signé des coups de génie. La Belgique entière a chaviré grâce au remarquable exploit contre le grand Brésil, en 2018, que l’entraîneur avait préparé dans le moindre détail. Il y eut, aussi, des coups durs. Et face au réalisme français ou italien, le sélectionneur est apparu parfois bien démuni.
Les Diables, eux, adhèrent à la méthode Martinez. À commencer par Romelu Lukaku, qui n’a jamais été aussi fort que quand son entraîneur lui voue un soutien inconditionnel. Mais on ne peut pas plaire à tout le monde et d’autres ont fait les frais des choix de l’Espagnol. Comme Radja Nainggolan, ex-chouchou du public, mais délaissé par le coach.
Roberto Martinez, lui, continue d’avancer. Un homme charmant, souriant, éduqué, mais qui, en coulisses, ne s’est pas fait prier pour devenir le big boss du foot belge.