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La disparition d’un être cher nous bouleverse parfois au-delà de ce qu’on pouvait imaginer. Dans le cas d’un animal familier, c’est l’âme silencieuse d’une maison qui s’en va. Comme si le piano familial devenait muet. Le chagrin qui nous étreint alors s’apparente à la fois à un chagrin d’enfant dont la fulgurance semble devoir durer toujours, et à une peine d’adulte, lourde de souvenirs anciens et de blessures enfouies. Pendant la maladie de sa chatte Margot, Olivier Bellamy a tenu un registre médical qui est vite devenu un journal sentimental. Dans cet état de vulnérabilité propice aux rendez-vous vrais, il s’est rapproché des vivants, notamment de sa mère pour mieux comprendre les griffures du passé. Il a aussi vu réapparaître des fantômes, en particulier un amour perdu qui traversa la vie comme un chat sauvage. Dans ce livre sensible et non dénué d’humour, le journaliste musical préféré des Français compose une émouvante « sonate des adieux », où il se dévoile comme malgré lui, et marque d’une voix qui sonne juste son entrée en littérature.