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Cet ouvrage s’adresse aux malades et à tous ceux qui les accompagnent : les familles et les soignants. Marie-Sylvie Richard, médecin, et Annie-Moria Venetz, psychologue, traitent sans détour des problèmes d’éthique médicale et des questions existentielles que pose aux soignants et à la société la pratique des soins palliatifs. Tout au long de cette interview, le respect apparaît comme un droit inaliénable du malade jusqu’à sa mort. C’est aussi pour les soignants et les accompagnants une exigence suprême. Qu’il soit psychologue, soignant, assistant social ou aumônier, secrétaire ou bénévole, agent de service hospitalier, chacun a un rôle spécifique et complémentaire. Telle une cordée de montagne où chacun découvre pas à pas où poser le pied, l’équipe n’hésite pas à se remettre en cause pour apporter au patient un soulagement, une certaine autonomie, une capacité d’expression, et pour qu’il vive à sa manière et à son rythme jusqu’à ses derniers instants. Dans quelle mesure le médecin accepte-t-il de ne plus pouvoir guérir, de quitter la systématisation des soins pour réfléchir à leur pertinence avec le malade, et prendre le temps d’informer les proches ? Comment évaluer les résultats de cette attitude ? Il n’existe pas en effet d’outil de mesure pour apprécier la réussite ou l’échec de notre relation à l’autre. Face au développement international des soins palliatifs et à la nouveauté de certaines situations cliniques, n’est-ce pas l’heure pour le corps médical de reconnaître la démarche éthique des soins palliatifs et de s’en inspirer pour les politiques sanitaire et sociale ? Le débat sur la souffrance et la mort s’enrichirait d’autant.