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Séron... ce fut, qui ne s’en souvient ? le « fait-divers de l’été » 1979. Quatre-vingt-dix-huit feux, spontanés, inexplicables... qui mobilisèrent, pendant trois semaines : gendarmerie, experts, parapsychologues, presse, radio, télévision. L’auteur des « Exorcistes sont parmi nous » et de « La médecine venue du fond des âges » ne pouvait que se passionner pour cette affaire « merveilleuse » et qu’il qualifie d’« exemplaire ». Jour après jour, heure par heure, la reconstituant à travers les témoignages des journaux, il nous la fait revivre avec son halo de mystère et son odeur de soufre. Pourtant, pour Georges Vergnes, l’anecdote, le fait-divers, ne sont que secondaires. L’important, pour lui, c’est l’environnement, cette atmosphère magique, qui mit en évidence cette part de « paléolithique » qui, depuis toujours, est en nous, cette somme de croyances, sinon de certitudes, qui est en nous tous, même si nous ne le savons pas, ou faisons mine de l’ignorer. C’est ainsi, qu’il nous introduit dans un monde inconnu (qu’il connaît bien) : celui des brouches et des brouchs, des sorcières et des sorciers, des voyantes, des radiesthésistes, des médiums et des exorcistes. Or, dit-il à leur propos, tous pouvaient - pourraient - avoir raison. Et Séron, en définitive, ne serait-ce pas la revanche du Moyen Âge et la dernière rouerie, baudelairienne, du Diable ?