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Comment la réflexion et la liberté, la logique et la volonté, peuvent-elles surgir de la vie du corps Que suis-je, quelle est ma destinée, si mon corps est non-sens, s’il n’a d’autre avenir que la mort. Si la pensée refuse ces interrogations, elle relègue le corps dans les faux-problèmes d’une philosophie ignorant la biologie et enlisée dans l’expérience, elle risque de s’aliéner en un jeu stérile. En fait, affirmer que la vie et la mort ne concernent pas le discours conceptuel, c’est cependant souscrire à une philosophie du corps. L’opinion de chacun est ici solidaire de représentations issues de certaines écoles philosophiques : nul ne peut en retarder l’examen lucide, critique, rigoureux. Car le plus souvent, sinon toujours, le corps est compris comme un absolu (de même que Dieu est conçu, même si Dieu est nié). Que peut alors répondre le philosophe à la question qui hante nos esprits depuis que le christianisme nous interroge : la résurrection de la chair a-t-elle un sens, est-elle possible ?