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Qu’est-ce qu’une « bonne » mère ? Est-ce une mère bonne pour elle-même ou bonne pour l’enfant ? Peut-on être bonne pour les deux à la fois ? Puisque, n’étant ni du même âge ni de la même génération, mère et enfant n’ont pas les mêmes désirs… Doit-on choisir de rendre l’enfant heureux en comblant tous ses désirs ou doit-on choisir de rester une femme heureuse qui passe des compromis pendant un certain temps entre sa vie sociale et le bébé ? D’abord, est-ce que ce bébé est à elle et à elle seule ? Non, il appartient aussi, et à égalité, au père ; en priver celui-ci serait commettre une erreur quant à l’Œdipe de la fille et à l’identification du garçon, que la mère, à cause de son sexe féminin, n’est pas en mesure de mener à bien. Mais une « bonne » mère, est-ce celle qui veut que ce bébé heureux le reste toujours ? Est-ce bien ainsi qu’on va préparer un adulte heureux ? Est-ce qu’un enfant ne doit pas aussi être préparé à aller vers une vie d’adulte qui ne ressemblera en rien au nirvana du début que les mères prennent tant de soin à entretenir… et qu’elles ont tant de mal à quitter, pour elles et pour l’enfant ? Il n’est donc pas toujours recommandé d’être « bonne » quand on est mère ; il serait assurément plus indiqué d’être « suffisante ». C’est en tout cas ce que tous les psychanalystes pensent – mais peut-être pas toutes les mères…