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Le plus grand parti de France n’est pas, comme chacun sait, le parti communiste, mais celui que forment objectivement ses anciens membres. Depuis plus d’un demi-siècle que les mésaventures de la dialectique multiplient exclusions et ruptures, des récits et des témoignages sont venus peu à peu éclairer l’expérience idéologique et politique sans doute la plus caractéristique de notre époque. Après s’être astreint à l’objectivité de l’historien dans sa remarquable biographie de Thorez, Philippe Robrieux s’est à son tour penché sur sa jeunesse pour tenter de comprendre et d’expliquer avec une sincérité sans complaisance ni amertume. L’expérience apparemment semblable à tant d’autres est, en fait, exceptionnelle. Né bourgeois, Robrieux est devenu stalinien dans la France convalescente et prosaïque de 1950 sans connaître les tumultes ou les périls qui accompagnèrent ou entraînèrent l’engagement de ses aînés. De la guerre froide à la naissance du gauchisme, cette « autobiographie politique » décrit l’ascension rapide du sein de la « contre-société » communiste, puis la chute, d’un militant qui se voulait et se croyait un révolutionnaire professionnel. Surtout, avec l’histoire mouvementée de l’Union des Étudiants communistes, c’est celle de toute une génération après tant d’autres contrariée, déçue, sacrifiée, que Robrieux fait revivre. Rescapé de ce « terrible gâchis », il a découvert la saveur des choses simples de la vie mais, fidèle à lui-même sans renoncer à l’espoir tenace qui porta sa jeunesse. « Le Parti, un jour… Peut-être ? ».