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Grâce aux progrès de la médecine, on vit mieux et plus longtemps dans les pays industrialisés, mais on y meurt plus mal. Aujourd’hui, deux personnes sur trois finissent leurs jours à l’hôpital loin de leur entourage, et nul n’ose remettre en cause les pratiques qui maintiennent artificiellement en vie des malades en l’absence de tout espoir de guérison. Le Pr Jean-Pierre Soulier, ancien professeur à la faculté de médecine de Necker et directeur du Centre national de transfusion sanguine jusqu’en 1984, demeure par ses travaux et ses engagements l’une des plus grandes autorités médicales en France. Membre de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité, il s’interroge dans ce livre sur ce qu’est et ce que devrait être la médecine de fin de vie. Quels sont les problèmes éthiques et juridiques posés par les malades atteints de lésions irréversibles ? À qui appartient-il d’apprécier, face aux souffrances physiques et morales, la « qualité de la vie » ? Comment réagir à une demande d’aide à mourir ? Quelle est la valeur légale d’une “déclaration de volonté” ? Dans quelle mesure la législation française devrait-elle être modifiée ? En abordant avec tact et franchise ces questions essentielles, le Pr Soulier nous rappelle que « chaque individu, responsable de sa vie, devrait pouvoir l’être de sa fin », et nous invite à repenser la mort plus sereinement, dans le respect de la personne humaine.