Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Publié à l’automne de 1983 aux Éditions du Ginkgo, Montréal by Foot est un univers, le sonnet est un jeu, et le jeu, une façon d’affronter l’univers, de le fixer pour un instant dans sa course. La Charte de la langue française du Québec avait six ans, mais les façades montréalaises avaient encore – comme elles l’ont toujours – un visage franglais à la Monsieur Muffler, d’où le titre du recueil lui-même et de tous les poèmes qui, toutefois, respectent les plus strictes règles de la versification française. Bien sûr que Montréal a son accent aigu, comme il se doit, mais pourquoi by Foot ? Parce que Jean O’Neil avait marché dans la ville de long en large, à pied, cela va de soi, et parce qu’il la décrivait également en pieds, à coups de douze plus précisément, comme tout alexandrin qui se respecte. Des alexandrins, il y en a 1044 dans ce recueil, pour un total de 12 528 pieds; et comme deux poèmes sont en octosyllabes avec 392 pieds de plus, on en arrive à 12 920 pieds,une toute petite promenade pour une aussi grande ville.