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Emporté dans le mouvement d’un récit fantastique, Serge Koster se retrouve, un beau jour de 1592, au chevet de l’illustre auteur des Essais, dont la lecture l’accompagne depuis de longues années. Arrivé également au seuil de l’existence, il cherche, dans un ultime tête à tête, à dialoguer avec Montaigne, espérant trouver auprès de lui les mots qui sauront apaiser ses angoisses face à la mort, à la perte de l’être aimé et à la fin de l’écriture.
« En ce moment, c’est-à-dire toujours, je relis Montaigne. Inépuisable. Indémodable. Je pioche, ici ou là. Dans le désordre. Le tohu-bohu de mes centres d’intérêt. Pour voir comment il réagit à la cruauté du temps, à son vieillissement, aux relations avec tel et tel, etc. » Comment ne pas recourir aux Essais ? Ce que c’est que de philosopher ? Ce que cela nous apporte, nous rapporte ? En quoi cela nous enrichit, nous tonifie, nous fortifie ? Je scrutai Tournier et avançai une citation : « Je ne dis les autres, sinon pour d’autant plus me dire. » Chaque phrase vaut une pharmacopée entière.