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Il y a toujours eu, de toute façon, si peu à dire. Et si peu de gens pour s'en plaindre. La langue, elle, ses mots n'ont que la rue, toute la journée. La ville. Pas étonnant qu'ils se dévoient, et suivent n'importe qui. Qu'ils mentent. Ils ne réfléchissent pas. On tente de les intéresser - au monde, d'abord, puis à soi-même, puis, en désespoir de cause, à eux : en vain. Ils n'en font qu'à leur tête, et si, par hasard, cette tête est la nôtre, s'il arrive, sans y avoir été pour rien, ou si peu, qu'on écrive un poème, il est d'usage que le si peu serve de cible à leurs ébats. On a payé le verbe, on lui a dit ce qu'on était, confié qui l'on aimait, on a parlé avec son souffle, on s'est tu pour mieux qu'il entende. À présent, on regarde en arrière.