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L’histoire commença le jour où elle entendit cette phrase : « Tu es comme les femmes, dans les tableaux de Modigliani. » Qu’avaient-elles de si particulier, ces femmes qui peuplent les tableaux de Modigliani ? Alors elle les regarda de plus près. Il y avait ces cous interminables, ces visages étirés jusqu’à la déformation. Des portraits éternisés. Invraisemblables. Hors du temps… Soudain, elle s’aperçut que les femmes de Modigliani n’avaient pas d’yeux. Juste des trous d’un bleu pâle. Les yeux étaient muets. C’est ce silence qui l’impressionna. Elle sentit ce que la voix avait voulu dire. Dès lors, par la force des choses, elle ne ressemblerait à personne d’autre qu’à ces femmes peintes. Et lorsqu’elle avouera comme par défi : « Moi, j’étais femme dans les tableaux de Modigliani », personne ne la croira, simplement parce qu’elle est née bien après la mort du peintre.