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Mireille Balin, l’une des plus grandes stars du cinéma français est morte en 1968, oubliée et dans la misère. Son destin, aussi tragique que celui de Rita Hayworth ou de Marilyn Monroe, fit de cette actrice suprêmement belle l’un des symboles des années 30. De G. W. Pabst à Jacques Becker, de Julien Duvivier à Jean Grémillon, elle a tourné avec les plus prestigieux cinéastes de son temps et fut l’héroïne de deux chefs-d’œuvre : Pépé le Moko et Gueule d’amour. Ses amis ? Eric von Stroheim et Raimu. Ses amants ? Jean Gabin et Tino Rossi. Son livre de chevet ? Les Pensées de Marc Aurèle. Son orgueil dévorant et son goût de l’indépendance mirent souvent en péril sa carrière : à Hollywood, elle refuse aux producteurs le droit de modeler son visage et fomente une grève. Incarcérée et jugée à la Libération pour avoir connu une passion avec un officier allemand, Mireille Balin mènera, pendant vingt ans encore, une existence dans la ruine, la maladie et la solitude. La beauté de celle qui fut la femme fatale du cinéma de l’entre-deux-guerres est foudroyée. Suivre pas à pas l’itinéraire de Mireille Balin c’est, à travers les événements politiques et l’univers cinématographique, se sentir proche d’une femme qui, de son apogée à sa chute, fut égale à elle-même : lucide, insolente, libre, en perpétuelle quête d’absolu. Une biographie qui se lit comme un roman.