Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
De nombreux livres ont été consacrés à Mileva Einstein, la première épouse d’Albert, dont il a divorcé en 1919 après avoir partagé avec elle quinze années de travail et de vie commune. Dans plusieurs de ces ouvrages, il est argué que Mileva aurait largement contribué aux grandes découvertes de son époux. Ce n’est pas le parti pris par ce livre qui s’efforce, essentiellement sur la base des lettres entre Albert et Mileva ainsi que celles qu’ils ont échangées avec leurs amis, de rappeler leur amour fusionnel pendant leur jeunesse, et de tenter de comprendre pourquoi Albert a ensuite complètement rejeté Mileva au point de ne jamais faire mention d’elle dans ses écrits. L’auteure montre de façon convaincante que Mileva a très mal supporté en 1903 l’abandon imposé par Albert de leur fille bâtarde, et que leur couple est alors tombé dans une spirale tragique : le caractère de Mileva était devenu trop sombre pour ce jouisseur de la vie et des femmes. Mileva aimait excessivement Albert, et cet amour a brulé ses ailes et l’a consumée. Sa vie a été un long calvaire après leur divorce, Mileva se débattant dans des problèmes financiers et s’occupant seule de leur fils cadet schizophrène, tandis qu’Albert devenait le scientifique le plus encensé du vingtième siècle.