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Greta Thunberg a un grain, c’est l’évidence, mais un grain qui donne de quoi moudre. Son apparition dans la mythologie médiatique récente demeurera dans les mémoires. Ella a donné un visage, une silhouette, une allure à l’interrogation primordiale de ce début de troisième millénaire. Une époque ne s’achève pas avec elle, pas plus qu’une nouvelle ne s’inaugure sous son signe. Mais un message a été émis, qui n’avait rien de réellement neuf, mais qui, une fois assumé par elle, a trouvé son incarnation. Une incarnation en croissance, puisque Greta s’est manifestée à l’aube de l’adolescence, ce qui illustre superbement les promesses qu’elle personnifie.
EXTRAIT
Ce que certains aiment chez Greta, c’est justement, ce qui fait qu’elle n’est pas une adolescente comme les autres. Sa conscience politique, son audace, son sérieux. Moi, au risque d’une certaine frivolité, ce que j’aime chez Greta, ce sont ses tresses. Chez Greta, chaque tresse démontre une personnalité très forte. Le plus souvent, c’est vrai, elles jouent les raisonnables et pendent sagement sur ses épaules. Mais parfois, on les voit se dresser comme deux serpents cobras. Et dans ces moments-là, Greta fait presque peur. J’ai sous les yeux la photo à New York d’une Greta grossièrement ignorée par un président des États-Unis qui passe, gonflé de sa propre importance, à trois mètres d’elle. On sent que les tresses de Greta ne rêvent que d’une chose, cracher à la gueule du malappris. Les tresses de Greta sont un excellent indicateur de son humeur;