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Il y a cent cinquante ans, Marx affirmait la nécessaire sortie du capitalisme par le moyen de la lutte de classes. Cent vingt ans plus tard, l’Internationale situationniste élargit la définition du prolétariat et met en cause la société capitaliste en tant que société de travail. Aujourd’hui, le Manifeste contre le travail du groupe Krisis reprend la critique là où les situationnistes l’avaient arrêtée. Pour Krisis, le capital et le travail ne s’opposent pas : le travail est une activité spécifique au capitalisme, il est au cœur d’un système qui s’auto-reproduit sans fin et fait des hommes la « ressource humaine » de son auto-reproduction infinie. Il ne s’agit donc pas de libérer le travail (toute la gauche, y compris Attac, réclame que la création d’emplois cesse d’être entravée par la spéculation), mais de se libérer du travail.
Les auteurs de ce manifeste, Robert Kurz, Ernst Lohoff, Norbert Trenkle, appartiennent au groupe et à la revue Krisis (dont le sous-titre est : « Contributions à la critique de la société marchande ») fondés il y a quinze ans en Allemagne.