
À New-York. Malko Linge vient de passer la nuit avec une jeune femme. Sabrina. Au matin. Sabrina a disparu mais à sa place se trouve, dans l'appartement. Pavel Andropov, un homme du KGB, qui explique à Malko que le KGB dispose des preuves montrant que Malko est un ancien criminel nazi : Rudi Guern.
Tatoués à l'encre violette, on distinguait nettement six chiffres et deux lettres : SS. 308 625. Le signe du « Schwartz Korp ».
Tous les SS portaient ce tatouage, même Heinrich Himmler, avec le numéro 168. Il s'approcha de la glace et examina son aisselle plus attentivement, en pleine lumière.
C'était indiscutablement un tatouage.
Ou il était fou, ou ce tatouage avait été exécuté pendant la nuit. Et par qui ?
Gérard de Villiers a parcouru le monde entier pour documenter, à partir de faits réels, les 200 livres SAS que représente son oeuvre.
Il a côtoyé les services de renseignements de nombreux pays, des officiers de différentes armes, des diplomates, des chefs rebelles de tous bords. Présent sur le terrain des révolutions, des coups d'État, des guerres secrètes, les détails, la précision et l'authenticité de ses informations sont sans égal.
Certains des évènements décrits dans les aventures de SAS se sont étrangement produits, parfois presque à l'identique.
Une référence en geopolitique
Un article de janvier 2013 paru dans The New York Times revient sur la longue et prolifique carrière de l'auteur et sur l'intérêt que portent les services secrets du monde entier à son oeuvre.
Robert F. Worth, journaliste au grand quotidien américain, spécialiste du Moyen-Orient, écrit : « Gérard de Villiers, le romancier qui en savait trop ».
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