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Il était une fois, au début des années soixante, un couple de la middle class américaine. Elle, belle, blonde et facétieuse. Lui, grand, travailleur et râleur. Jusque-là, rien de bien original. Il y a sa mère à elle, sa mère à lui, une vieille tante par ci, une voisine par là. Quoi de surprenant ? Pas grand-chose, si ce n’est que la jeune femme est une sorcière… Pour Jean Pierre Stevens, les ennuis commencent et les catastrophes seront quotidiennes. Car « Ma sorcière bien aimée » n’est pas un simple conte de fées, mais bien plutôt une sorte d’allégorie des petits et grands travers de la société américaine d’hier et d’aujourd’hui. En effet, comment mieux faire ressortir l’ostracisme, l’intolérance et le racisme que de confronter une petite famille en apparence ordinaire à l’obligation de la dissimulation et à l’incompréhension de son entourage. Mais époque bénie des sixties cette stigmatisation se fait par le rire et les préoccupations des créateurs de « Ma sorcière bien aimée » s’expriment avant tout par la satire.