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Lucas est cul-de-jatte. Mais c’est aussi un monstre d’intelligence et, lorsqu’il daigne échanger des idées avec ses camarades de Faculté, ceux-ci sont subjugués par son esprit. Hélène, dont la beauté alliée à une rare noblesse de cœur et d’esprit, suscite tant de ferveurs amoureuses parmi les étudiants, s’éprend de l’infirme ; elle ira jusqu’à se marier avec lui. Non pas par pitié, se défend-elle, mais par amour. Est-ce vraiment si sûr ? Au lecteur d’en juger. Dans une authentique histoire d’amour, la haine tient toujours quelque place. Lucas, au contraire, est un roman de haine où l’amour se cache partout. Cette pensée de l’auteur peut servir de clef à cette œuvre extraordinaire. De son premier livre, « Les Chats morts », Robert Kemp disait : « Ce roman atroce sans en avoir trop l’air, ouaté, capitonné, a je ne sais quel charme étrange. Ici, il s’agit d’une vaste fresque psychologique où le "charme étrange" atteint au pathétique et ne cesse plus de nous hanter. »