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Comment les classes salariées et particulièrement la classe ouvrière ont-elles évolué depuis cinquante ans dans notre pays, telle est la question soulevée par le livre de Michel Collinet ? La structure des classes salariées s’est transformée avec celle de l’industrie et le progrès technique qui en fut la cause. En même temps que l’activité humaine tendait à évoluer du secteur industriel vers les secteurs de distribution, la catégorie sociale des employés, que l’auteur appelle la classe moyenne salariée, grandissait en importance. Simultanément, la rationalisation industrielle créait un type nouveau d’ouvrier, l’ouvrier spécialisé sans qualification, amenant avec lui un comportement nouveau vis-à-vis de son travail, de ses camarades d’atelier et de la société dans son ensemble. Quelles sont les origines sociales de l’ouvrier moderne ? L’auteur, utilisant une enquête récente, a cherché une réponse — très provisoire — au problème important et presqu’inconnu des migrations sociales. Depuis cinquante ans, la nation et la forme du salaire ont subi un véritable bouleversement. Analysant les suppléments sociaux du salaire actuel, l’auteur n’a pas de peine à montrer que leurs avantages sont entièrement payés par les salariés eux-mêmes. Sous des formes nouvelles, on est revenu à la loi d’airain de Ricardo et Lassalle ; seule une augmentation simultanée de la productivité et du salaire direct pourrait briser cette “loi” et améliorer la vie ouvrière.