Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Dans ce pamphlet vigoureux, Pétrus Borel s’insurge contre l’acquisition de l’obélisque de Louqsor, cadeau diplomatique du vice-roi égyptien. Nous sommes en 1833, soit trois ans avant que l’obélisque ne soit érigé sur la place de la Concorde, et quatre ans avant la création de la commission des monuments historiques par François Guizot. Pétrus Borel fustige avec verve et humour le délaissement du patrimoine français et s’en prend aux scientifiques pilleurs de trésors. Empreint de la fascination des romantiques pour les ruines du passé, il livre une réflexion d’une grande modernité sur l’attitude des autorités françaises, préférant arracher monuments et objets archéologiques à des pays lointains plutôt que de conserver leur propre patrimoine.
Né en 1809 à Lyon et mort en 1859 à Mostaganem, Pétrus Borel est un poète français appartenant au mouvement du romantisme frénétique. Qualifié de “petit romantique”, il était ami avec Victor Hugo. En 1832 il publie Rhapsodies, un recueil de poèmes, puis Champavert en 1833, et Madame Putiphon en 1839. Nous lui devons également une traduction de Robinson Crusoé. Il est le fondateur des revues La Revue pittoresque et L’Âne d’or.