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A-t-on le droit d’exiger des citoyens croyants qu’ils n’argumentent jamais en fonction de leurs croyances ? Est-il moralement acceptable que les citoyens laïcs restent sourds aux intuitions éthiques dont sont porteuses les religions ? Cette double limite reconnue par Jürgen Habermas à l’éthique de la discussion ne doit pas faire désespérer de l’autonomie citoyenne. Elle invite plutôt à affronter le problème de la « force motivante » de la raison pratique. En revenant à Kant, Hedwig Marzolf découvre que ce problème se résout dans la figure du Christ « ami de l’homme » qui nous fait voir dans la loi morale la loi de Dieu. Une Idée de Dieu, selon l’« Opus postumum », « habite » le sujet et se présente à lui comme un « miroir » dans lequel il réfléchit son unité et le sens de son action dans le monde. La nécessité de Dieu ne repose pas seulement sur la résolution du croire, mais sur l’énigme de la liberté pour un sujet fini. Dès lors, il ne suffit pas à la philosophie de reconnaître, sous certaines conditions, l’utilité sociale et politique des religions pour répondre aux défis contemporains, mais il est nécessaire de rouvrir un questionnement théologique.