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« Nous dansions depuis minuit dans une cave enchantée par un petit orchestre de jazz, à la fois fiévreux et doux, qui jouait tous les soirs dans le style le plus jeune, celui de La Nouvelle-Orléans. Comme il était 5 heures du matin, l'un de nous fit observer qu'il était grand temps d'aller faire un bon repas dans un restaurant ouvert la nuit. »
Rien de ce qui ressemblait au bonheur n'aura décidément échappé à Kléber Haedens. Il a tenu chronique, comme d'autres table ouverte, à Paris-Presse, à France-Soir, puis au Journal du Dimanche, jusqu'à sa mort. Voici, inédites, ces pages arrachées à la douceur du soir. « Mélange de carnet de bord, de conversations à voix haute et de notes quotidiennes », selon son préfacier Etienne de Montety, Les lettres de la petite ferme s'écrivent à l'estomac et selon l'humeur. Paul Morand reçu à l'Académie, une étape du tour de France, un « mano a mano » dans les arènes d'une ville du Sud, Montauban jazzy qui ressemble soudain à La NouvelleOrléans, François Mauriac et Venise, le tango et le paso doble, peu importait le sujet, Kléber Haedens jetait sur le papier la quintessence de son plaisir.
Kléber Haedens est l'auteur entre autres, d'Une histoire de la littérature française, de L'été finit sous les tilleuls (Prix Interallié 1966) et d'Adios (Grand Prix de l'Académie française en 1974).