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Après une longue vie passée dans leur petite boutique des Batignolles, M. et Mme Lavernerie sont contraints par lâge à se retirer. Comment vont-ils meubler ce grand espace vide qui s'ouvre devant eux ? On vit beaucoup plus vieux aujourd'hui que jadis, et la retraite n'est plus la simple conclusion d'une existence ; elle en constitue désormais un chapitre important. Existe-t-il un art de vieillir ? La société fait-elle tout ce qu'elle devrait pour ses « anciens » ? La maison de retraite est-elle la meilleure solution imaginable ? Toutes ces questions, et bien d'autres, se lèvent sous les pas du lecteur tandis qu'il accompagne dans leur existence la plus quotidienne les nombreux personnages que LÉternité derrière fait graviter autour des deux protagonistes, Thérèse Lavernerie et sa fille Simone. On sait le goût que nourrit l'auteur des Eaux mêlées et du Tourniquet des innocents pour la richesse et la variété de destins humains étroitement enlacés. Ici comme dans ces deux autres oeuvres, le pitoyable côtoie le sublime, et le cocasse le tragique ou le touchant : face à la mort, le sourire persiste ; la dignité humaine est à ce prix. Mais c'est finalement toujours l'épaisse coulée du Temps qui fait la vraie substance du roman.