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L’Europe et la France connaissent depuis 2022 une hausse très importante du prix des énergies principales (gaz, pétrole, et surtout électricité). Comment expliquer cette fin brutale de l’énergie bon marché ? L’économiste Rémy Prud’homme se penche sur cette question et identifie sept suspects : (1) le coût de production des énergies classiques ; (2) la pandémie de covid-19 ; (3) la guerre de la Russie à l’Ukraine ; (4) le cartel pétrolier de l’OPEP ; (5) les renouvelables intermittents ; (6) les taxes sur l’énergie ; (7) les freins écologiques apportés à la production de la plupart des énergies. Les quatre premières causes sont celles que mettent en avant nos gouvernements : elles viennent d’ailleurs, ce qui les exonère de toute responsabilité. L’analyse conduit pourtant à disculper largement ces quatre premiers suspects. Restent les trois autres causes, qui résultent au contraire directement des politiques énergétiques mises en œuvre en France et dans les autres pays développés par nos décideurs politiques. Et l’analyse détaillée est cette fois sans appel : toutes les trois ont fortement contribué à la rareté et à la hausse des prix de la plupart de nos énergies. Les vrais responsables de la crise sont donc sous nos yeux. Après des études à l’école communale de Doué-la-Fontaine, à HEC, à Harvard, et un doctorat d’économie, Rémy Prud’homme est devenu professeur des Universités. Il a enseigné à Phnom-Penh, Lille, et Paris XII, ainsi qu’au MIT (Massachussetts Institute of Technology) et à l’Université de Venise. Il a aussi été directeur-adjoint de l’Environnement à l’OCDE. Et un fréquent consultant de la Banque Mondiale un peu partout dans le monde.