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Une bonne et son fils chez un couple de pharmaciens bon genre. Marc, le fils, profite d'un congé scolaire pour venir rejoindre sa mère. Et grandir. À résumer le premier roman de Liliane Sichler, on perd son temps. Le vrai plaisir, l'émotion sont ailleurs. Dans ce livre poignant, aussi vert que le cœur d'un enfant. Un livre où seule compte la voix de la personne qui parle et qui écrit. Une voix unique. ... Rien, il a rien Marc. Juste une envie de tout foutre en l'air, de dire merde, con, fais chier... comme avant, comme quand il était petit. Et puis envie aussi de dire Maman, mais ça, il peut plus, c'est oublié. Alors il dit à côté, en contournant l'obstacle : Eh dis, tu viens, Dis donc toi, t'entends ce que je dis. Et plus elle le cajole, plus il oublie comment c'était quand il faisait Maman. Un peu une poupée qui parle qui ne parlerait plus. Avec, en plus, une souffrance très chaude, très douce pour s'endormir avec. Parce que, la nuit, Marc il pleure, il pleure si fort qu'il le dit. Maman tu m'embêtes. Maman rappelle-toi comme on était bien avant, avec Patrick. Tu allais, je sais plus où, faire des bureaux et tu rentrais le soir à la maison. Patrick me donnait des claques si je rentrais trop tard de l'école et toi tu me consolais en me disant qu'un grand frère c'est comme ça. Un jour à l'école y en a qui m'ont battu en riant et hurlant où qu'il est ton père ? Va lui dire. Ce coup-là mon grand frère est allé faire le shérif à la sortie. Comme ils ont filé les mecs... Maman. Dans son lit, il sourit Marc, en suçant ses larmes. Pourquoi il pleure tout seul, il en sait rien.