Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Entre émotion et virtuosité littéraire, trois titres, trois bonnes raisons de redécouvrir un grand écrivain français disparu il y a maintenant dix ans." C'était un homme à majesté, un grand écrivain. Un moraliste sous ses airs goguenards, d'une érudition folle, même s'il avait fait ses universités ailleurs que dans les endroits habituels. " Louis Nucera " On connaissait le Boudard de la langue verte et de la verve populaire, ce livre révèle un Boudard plus personnel, sensible et révolté, un magnifique écrivain français ", concluait la quatrième de couverture de Mourir d'enfance, le " roman " dans lequel Boudard, plus personnel que jamais, évoquait ses années de jeunesse et ses relations avec sa mère. Le jury de l'Académie française fut du même avis que l'éditeur et lui décerna pour ce livre son Grand Prix du roman en 1995. Avant de disparaître, en 2000, à l'âge de soixante-quatorze ans, Alphonse Boudard devait encore publier un livre aux Éditions Robert Laffont, L'Étrange Monsieur Joseph (1998), portrait d'un personnage hors-norme qu'il avait rencontré en prison, ferrailleur juif, embrouilleur professionnel, pourvoyeur de métaux pour les nazis, voguant de façon ambiguë durant la guerre entre la Gestapo et l'armée des Ombres. Aujourd'hui, ces deux ouvrages auxquels s'ajoute La fermeture, paru chez Robert Laffont en 1986 et consacré aux maisons closes (" J'ai toujours vécu avec ces histoires de bordel en toile de fond, disait Boudard, parce que ma mère se défendait comme ça "), sont réunis en un seul volume. Ce triptyque forme un ensemble cohérent, qui reflète le regard que Boudard jetait sur cette période si marquante, de l'avant-guerre à l'après-guerre en passant par les années d'occupation, période durant laquelle il a lui-même traversé des univers aussi distincts que ceux de la Résistance et des Forces françaises libres d'un côté, de la pègre, de la prostitution et de la prison de l'autre. Sous le triple visage du romancier, du biographe et de l'historien, Alphonse Boudard fait revivre un monde disparu et impose son talent, celui d'un écrivain à la gouaille, à la truculence, à l'invention verbale rares.