Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
En juin 1944, à Pointe-Noire, deux hommes – Elenga, mécanicien de locomotive, et Muendo, scieur de bois - meurent à vingt-quatre heures d’intervalle, de mort violente. Un troisième homme est retrouvé en pleine nuit, gisant dans un état comateux entre la tombe de ses deux amis... La rumeur se répand aussitôt : Luambu est un sorcier, il n’a fait ami ami avec Elenga et Muendo que pour mieux les tuer. D’ailleurs, le supérieur hiérarchique de Luambu n’a-t-il pas perdu son bégaiement après avoir reçu de son collègue un Credo admirablement calligraphié ? Et Mazola, la sœur d’Elenga, n’a-t-elle pas osé refuser le prétendant choisi par son oncle pour jeter son dévolu sur Luambu ? La vérité, cependant - en ces temps d’un effort de guerre qui exige la plus grande docilité des indigènes - est bien différente de la version magique mise en avant et colportée par certains Noirs de la colonie... Cette vérité, Tchicaya U Tam’si la cerne peu à peu, par une approche ondoyante qui préserve le climat subtilement irrationnel baignant tout le récit. Un récit superbe, dont le ton lancinant, celui même de la tradition orale africaine, est chargé d’une irrésistible force poétique.