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Les lueurs de l'aube constituent le troisième tome du journal de Michel Droit. Et, cette fois encore, le nouvel académicien français continue de remonter le temps. Après Les feux du crépuscule (1968-1969-1970) et Les clartés du jour (1963-1964-1965), voici donc, avec les années 1958, 1959, 1960, ce qui est, en réalité, le premier volet chronologique d'un triptyque personnel, commençant avec la chute de la IVe République, et se terminant à la mort du général de Gaulle. […] Mais nous vivons, à travers ce journal, beaucoup d'autres événements qui marquèrent cette période : la mort de Pie XII et le couronnement de Jean XXIII, le drame de Fréjus, l'affaire des barricades, le voyage à Paris de Khrouchtchev, l'exécution de Caryl Chessman, etc. Nous côtoyons Camus, Mauriac, Maurois, Malraux, Kessel, Fellini, Dali, Frédéric Joliot-Curie. Et, aussi, un très jeune secrétaire d'État aux Finances nommé Valéry Giscard d'Estaing. Nous découvrons l'étonnante princesse Marie de Grèce, née Bonaparte, faisons la connaissance de Jean-Christophe Averty et de Claude Lelouch, avant qu'ils ne deviennent célèbres. Chez lui, à Harlem, nous rencontrons le boxeur Ray Sugar Robinson. Au Japon, à La Nouvelle-Orléans, à New York, à Tolède, nous suivons enfin Michel Droit, ainsi qu'à travers la minuscule immensité de cette Camargue qu'il aime, et dont il parle en poète. Et puis, surtout, d'un bout à l'autre des Lueurs de l'aube, ne cessent de coexister le témoin, le mémorialiste, l'humaniste, l'écrivain engagé, mais aussi l'homme tel qu'il est profondément, face à lui-même et parmi ceux qu'il nomme les siens, l'homme avec ses certitudes, ses doutes, ses fidélités, ses tendresses, ses joies et ses souffrances.