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Après les Jours de travail, le journal des Raisins de la colère, Seghers publie la correspondance de Steinbeck à son éditeur, lors de la rédaction d'À l'est d'Éden...À l'heure d'amorcer l'écriture d' À l'est d'Éden, son livre le plus ouvertement autobiographique et sans doute le plus ambitieux, John Steinbeck commence une longue lettre à son ami et éditeur de Viking Press, Pascal Covici. Placée en page de gauche d'un cahier en cuir, cette lettre ininterrompue fait face, en page de droite, au premier manuscrit du roman. De son propre aveu, elle permet à l'écrivain de s'échauffer mentalement et physiquement avant de rédiger ses feuillets quotidiens. " Es-tu frappé par le côté délirant de toute cette histoire ? Celui de t'écrire l'équivalent d'une lettre que tu ne liras pas avant un an ? " (22 février 1951) Du 29 janvier au 1er novembre 1951, Steinbeck documente ainsi son travail, se livre à des analyses politiques, se confie sur des sujets intimes et observe le livre qui semble progresser de lui-même, malgré les doutes. Après Jours de travail (2019) qui restituait le journal des Raisins de la colère, Seghers publie avec ces lettres le journal d' À l'est d'Éden et révèle le testament littéraire du Prix Nobel. Traduit de l'anglais (États-Unis) et postfacé par Pierre Guglielmina