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Avec cette étude sur Beaumarchais, Maurice Descotes achève le cycle qu'il a entrepris, en vue de considérer les grandes œuvres du théâtre classique, non pas dans la perspective traditionnelle des personnages, mais dans celle des rôles. C'est-à-dire, en faisant intervenir beaucoup moins le point de vue du lecteur, que celui de l'acteur qui anime physiquement le personnage, et celui du spectateur qui contemple et entend un héros appelé à donner directement l'illusion de la vie. Ainsi, est restituée la valeur réelle du spectacle. Une fois de plus, à propos de Beaumarchais, se dégage cette conclusion que le comédien est un véritable créateur : l'image donnée de Figaro par Préville, Coquelin, J. Piat semble présenter des personnages différents, comme s'il ne s'agissait plus du même héros ; Bazile n'aurait pas atteint aux dimensions du mythe, s'il n'avait pas été incarné par de Max ; sans l'interprétation de Cécile Sorel, le rôle de la Comtesse restait un rôle négligé, etc. Tant il est vrai que « les comédies ne sont faites que pour être jouées » (Molière).