Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
La Révolution au milieu des damnés du faubourg : le Paris des bouges et de la rue, celui des salons et des sections aussi. Trois personnages se détachent, dans Paris qui bourgeonne et qui bouillonne, parmi les obscurs et les gradés. Deux amis dont les chemins se séparent, l’un, député à la Convention, représentant à l’armée de Moselle, couvert de gloire ; l’autre, médecin du Faubourg, ennemi de toute violence, ne songeant qu’au bonheur de l’humanité. Entre les deux, une femme, une jeune bourgeoise révoltée qui rejoint ces Enragés que la faim et la rage d’égalité poussent sur le pavé parisien. La Révolution de 89, l’oublierait-on, ce sont d’abord ces hommes et ces femmes, ces cohortes d’anonymes qui assiègent en juillet, marchent en septembre, envahissent en août ou exigent en juin. Eternels fantassins floués des journées révolutionnaires, ils ont faim, ils ont froid, ils s’entassent dans les caves et les greniers. Ils ont faim et ils le crient. Ils ont faim et ne se nourrissent pas seulement de Liberté et de Constitution. Une autre vision de la Révolution, un roman à contre-courant : les heures de gloire, de colère et d’enthousiasme des oubliés du bicentenaire.