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Évariste Gamelin a soif de justice. Peintre parisien devenu juré au tribunal, il assiste à la succession des procès expéditifs perpétrés sous la Terreur. Farouchement jacobin, il condamne à mort les insurgés dans la plus grande indifférence. Seulement, dans cette danse à la guillotine, Évariste Gamelin est aveuglé par ses idéologies, par le mécanisme d'un pouvoir qui se prend pour Dieu, et par une passion sanguinaire qui finira par le couper de ses proches.
Prix Nobel de la littérature en 1921, ce roman historique — de la Terreur — décrit l'horreur du fanatisme. Anatole France met à nu une période sanglante où le progrès se confond à tort à la barbarie, et où les idées politiques extrêmes conduisent à la montée de la cruauté.
Anatole France (1844-1924), fils de libraire, baigne dès sa jeunesse dans la littérature. Il aime la poésie, s’y essaye, mais s’oriente progressivement vers la prose. Il commence sa carrière professionnelle comme bibliothécaire au sénat, et devient critique littéraire. Ses premiers succès n’arrivent que tard avec « Le Crime de Sylvestre Bonnard », en 1881. Progressivement, il s’oriente vers des écrits politiques. Il s’intéresse par exemple à l’Affaire Dreyfus, au côté d’Emile Zola. Ses engagements ressortent dans les quatre tomes de « Histoire contemporaine », et il y décrit les problèmes de son époque. Il s’engage aussi pour la reconnaissance du génocide arménien.