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« Les Clandestins » couvre toute la période de la Seconde Guerre mondiale qui va de l’Occupation à la Libération. On y voit s’organiser la première Résistance, avec les débuts des réseaux, de la littérature clandestine, des attentes — le tout, vécu de l’intérieur et éclairant le rôle primordial reconnu par l’Histoire au parti communiste. Puis viennent les contacts avec les gaullistes, l’établissement, malgré les différences, de rapports avec la France libre noués d’abord par l’auteur avec François Faure et le colonel Rémy. Au fur et à mesure que se structure et s’étend la lutte clandestine, c’est le cortège tragique, qui s’allonge, des patriotes arrêtés, torturés, exécutés, avec la sanglante floraison des affiches aux listes noires sur fond rouge. Lui-même arrêté, Jean Jérôme raconte ses prisons, sa lutte et aussi sa chance d’en être sorti vivant. Mais le livre foisonne d’anecdotes et de personnages, humbles héros que l’auteur s’est fait un devoir de sortir de l’ombre, dans le même esprit de sobre véracité qu’il a mis à préciser certains points d’Histoire comme ce que l’on a appelé « l’affaire Manouchian » ou tel l’unique parachutage d’armes et de matériel consenti, de Londres, à la Résistance communiste.