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Jean-Louis Guidez nous avait déjà conduits, passagers de la pluie, au « Pays noir ». À l’occasion de plusieurs livres - ses premiers - attachants de nostalgie et de poésie. Elles restent intactes dans « Les carreaux cassés », où l’auteur a choisi d’illustrer lui-même ses textes, en nous entrouvrant une fenêtre, une vitre salie, un landerneau, un soupirail, un vitrail, un vantail. Autant de carrés blancs qui, par la magie du clair obscur photographique, nous offrent des bouts de jours illuminés. Le « Pays noir », sous la plume de Jean-Louis Guidez, était déjà ensoleillé. Avec la photo en appoint, il devient rayonnant. « Les carreaux cassés », entendons par là les puits de mine et les terrils éliminés du paysage par un progrès oublieux du patrimoine, il les restitue. Images d’un passé prospère, dominé par le charbon qui, par la magie de l’instantané, gagne l’immortalité de la mémoire collective. Et puis, on découvre aussi, à travers les pages, la mutation de toute une région à l’heure de sa nécessaire reconversion et la réinsertion de ses habitants, les enfants de Germinal.